Résumé–Cet article traite de la découverte de lithopone phosphorescent sur des dessins à l'aquarelle, datés entre 1890 et 1905, de l'artiste Américain John La Farge et de l'histoire du lithopone dans l'industrie des pigments à la fin du 19e et au début du 20e siècle. Malgré de nombreuses qualités souhaitables pour une utilisation en tant que blanc dans les aquarelles et les peintures à l'huile, le développement du lithopone comme pigment pour artistes a été compliqué de par sa tendance à noircir lorsqu'il est exposé au soleil. Sa disponibilité et son usage par les artistes demeurent incertains parce que les catalogues des marchands de couleurs n'étaient généralement pas explicites à indiquer si les pigments blancs contenaient du lithopone. De plus, lors d'un examen visuel, le lithopone peut être confondu avec le blanc de plomb et sa phosphorescence de courte durée peut facilement être ignorée par l'observateur non averti. À ce jour, le lithopone phosphorescent a seulement été documenté sur une autre œuvre: une aquarelle de Van Gogh. En plus de l'histoire de la fabrication du lithopone, cet article décrit le mécanisme de sa phosphorescence et son identification à l'aide de la spectroscopie Raman et de la spectrofluorimétrie.

In a study published in the journal Environmental Toxicology and Pharmacology in 2020, researchers examined the effects of food additives titanium dioxide and silica on the intestinal tract by grouping and feeding mice three different food-grade particles — micro-TiO2, nano-TiO2, and nano-SiO2.  With all three groups, researchers observed changes in the gut microbiota, particularly mucus-associated bacteria. Furthermore, all three groups experienced inflammatory damage to the intestine, but the nano-TiO2 displayed the most pronounced changes. The researchers wrote: “Our results suggest that the toxic effects on the intestine were due to reduced intestinal mucus barrier function and an increase in metabolite lipopolysaccharides which activated the expression of inflammatory factors downstream. In mice exposed to nano-TiO2, the intestinal PKC/TLR4/NF-κB signaling pathway was activated. These findings will raise awareness of toxicities associated with the use of food-grade TiO2 and SiO2.”

Historical references[edit]